Francais.
Réalisateur: François Dupeyron.
Acteurs: Caravaca, Denis Podalydes, Gregori Derangère, Sabine Azéma, André Dussolier, Isabelle Renaud, Géraldine Pailhas, Jean-Michel Portal, Guy Tréjean, Catherine Arditi, Paul Le Person.
La Chambre des officiers est le cinquième long métrage de François Dupeyron. Producteurs: Michèle et Laurent Pétin Scénario: F. Dupeyron d'après le roman de Marc Dugain, l'histoire est celle du grand père de l'écrivain. Des gueules cassées par la guerre de 1914-1918. Ils seront retapés au Val de Grâce par des chirurgiens réparateurs, soignés par des infirmières, angoissés par leur famille. Seul le temps guérit tout.
Les acteurs sont tous formidables:Éric Caravaca, Denis Podalydes, Gregori Derangère, Sabine Azéma, André Dussolier, Isabelle Renaud, Géraldine Pailhas, Jean-Michel Portal, Guy Tréjean, Catherine Arditi, Paul Le Person.
Quel genre?
Drame humain de l'histoire, un film français en couleur d'une durée de 135 minutes, sortie à Paris sur les écrans le 26 septembre 2001
De qu'est ce?
Les mobilisés sont joyeux. Les braves partent en guerre contre des vaniteux. Ceux qui obéissent bêtement aux ordres de Guillaume II. Une infidèle accompagne un homme prenant le train d'été 1914 en guerre.
Les copulations faites, un autre, séduisant lieutenant part se battre.
Le 5 août, cet officier du génie a la gueule démolie par un tir de reconnaissance. En ambulance il voyage du bout de l'enfer jusqu'au Val de Grâce.
Le premier de la chambre des officiers blessés de la face est arrivé.
D'autres hommes viendront durant cinq ans.
Le lieutenant sera décoré pour avoir pris la guerre dans la gueule. Sans l'avoir jamais faite.
Et on en dit?
Une pensée vient "Johny got his gun" le seul film réalisé par Dalton Trumbo. À cause de la voix off, et de l'impuissance physique dont le héros est victime.
Ce film est tourné vers le regard. Le spectateur est assis du côté des blessés. Il voit les répulsions des gens devant les défigurés. Pour les gens ces nouveaux monstres sont dégoûtants à regarder.
La lumière s'éclaire au fur et à mesure de l'évolution des malades. Le spectateur est dans la chambre avec les officiers. Les visiteurs sont pénibles, tous ordinaires comme dans une salle de cinéma.
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